Welcome to his Nightmare!
Il y a des mois où tu ne sais
plus trop où donner de la caboche ! En effet, après l’avant première du
film d’Aerosmith Rock of the Rising Sun, le concert de Pentagram,
le groupe du célèbre Bobby Liebling au
Glazart et le show d’Alice Cooper, on peut dire que niveau rock n roll
on est servi ! Il n’empêche que ce dernier événement rock n rollesque fut
de haute voltige. Vincent Furnier, puisqu’il s’agit de son vrai patronyme, fut
vraiment en très bonne forme. C’est en plein territoire teuton, à Saarbrücken,
que le père du Shock Rock fît escale en ce 29 juillet 2013.
Alors commençons par le commencement de cette grande messe. C’est avec les anglais de Neonfly que les sons de la musique du diable retentissent. Des sons bien calibrés, bien construits après, on a cette impression de « déjà vu » du moins déjà entendu. Cela dit, le tout est très bien exécuté et on peut leur tirer notre chapeau puisque la barre est mise très haute. Eh oui, assurer la première partie de l’ancêtre de Marilyn Manson doit vraiment être soumis à des pressions, et celles-ci non ingérables. C’est au bout d’une grosse demie heure qu’ils s’éclipsent en ayant gagné quelques futurs fans dans leur escarcelle. Quelques minutes passent afin de procéder au changement de plateau et voilà qui débarque … ? Monsieur Alice Cooper himself. Les musiciens déboulent tour à tour jusqu’à ce que le patriarche fasse son entrée fracassante. C’est sur Hello Hooray que le petit théâtre des horreurs s’ouvre et ce pour notre plus grand plaisir. En effet, cette chanson permet de se plonger directement dans ce qu’il va suivre, c’est-à-dire, un florilège de grand délire rock n rollien. Alice, comme à son habitude, soucieux de son apparence la soigne avec brio. Un pantalon moulant noir et rouge à l’instar d’un monsieur Loyal du rock et des ceintures skulls en veux-tu en voilà, sans oublier son make-up si reconnaissable, prouve que le gaillard n’a pas encore envie de s’enterrer avec des charentaises. Doté de son bâton il mène son groupe de main de maître et c’est qu’ainsi s’enchaîne House of Fire tiré de son album Trash. Et voilà c’est parti pour presque 2h de pure folie rock. Ce que l’on remarque c’est qu’Alice ne reste pas focalisé sur une seule et unique période de sa longue et riche carrière mais qu’il exploite la globalité de ses talents. En effet, les périodes Trash, Welcome to my Nightmare, The Eyes of Alice Cooper, Hey Stoopid, Billions Dollars Babies, Killer etc … passent à la moulinette ! Que dis-je à la guillotine. Eh oui, celle-ci fut aussi de la fête. C’est grâce à Calico Cooper (la propre fille de Vincent) qu’il fut exécuté et ce, sauvagement, avant de revenir sur un brancard. Faut vraiment spécifier que les concerts d’Alice Cooper sont des spectacles vivants. Il ne s’agit pas uniquement de musiciens qui viennent là, dégainent leur instruments et puis « ciao bye bye, see you later » ! Que nenni, là, on est dans le faste et l’envie de faire passer un bon moment à ses fans. On peut, à ce propos, énoncer la présence d’un guignol géant à l’effigie de Frankenstein sur le célèbre Feed my Frankenstein. Moment exquis où l’on se croit dans Wayne’s World. Il est où Garth ? De plus, la chaise électrique, la camisole de force sont des éléments intégrants au show ce qui donne une note voire des gammes complètement délirantes à son rock n roll. Il ne s’agit pas de l’unique corde (non pas pour se pendre) à son arc ! Vincent se rappelle d’où il vient et ne snobe en rien ses congénères. C’est ainsi qu’il fit un quart d’heure d’hommage aux Beatles avec Revolution, Jimi Hendrix et son Foxy Lady, aux Doors et Break on throught ainsi qu’aux Who et My Generation. On constate que ses partenaires de scène sont d’un professionnalisme à toute épreuve. La jeune Orianthi ne laisse pas indifférent tant par son jeu que par son physique. Cela dit on ne peut occulter ses compères Tommy Henriksen, Ryan Roxy, Jonathan Mover, Chuck Garric qui ne sont pas en reste. C’est au bout d’une heure et demie que ce joyeux petit monde se retire pour nous revenir pour un rappel détonant. Eh oui, notre ami Furnier a plus d’un tour dans son sac, la cloche retentit et c’est un mix de School’s Out et Another Brick in the Wall, qu’il nous délivre. C’est ainsi que s’achève cette grande messe à grands renforts de lâché de ballons, cotillons et feu d'artifice. Energie, envie, compétence rock, hémoglobine, théâtralité seraient les noms qui s’acoquineraient joyeusement à ce spectacle.
Alors commençons par le commencement de cette grande messe. C’est avec les anglais de Neonfly que les sons de la musique du diable retentissent. Des sons bien calibrés, bien construits après, on a cette impression de « déjà vu » du moins déjà entendu. Cela dit, le tout est très bien exécuté et on peut leur tirer notre chapeau puisque la barre est mise très haute. Eh oui, assurer la première partie de l’ancêtre de Marilyn Manson doit vraiment être soumis à des pressions, et celles-ci non ingérables. C’est au bout d’une grosse demie heure qu’ils s’éclipsent en ayant gagné quelques futurs fans dans leur escarcelle. Quelques minutes passent afin de procéder au changement de plateau et voilà qui débarque … ? Monsieur Alice Cooper himself. Les musiciens déboulent tour à tour jusqu’à ce que le patriarche fasse son entrée fracassante. C’est sur Hello Hooray que le petit théâtre des horreurs s’ouvre et ce pour notre plus grand plaisir. En effet, cette chanson permet de se plonger directement dans ce qu’il va suivre, c’est-à-dire, un florilège de grand délire rock n rollien. Alice, comme à son habitude, soucieux de son apparence la soigne avec brio. Un pantalon moulant noir et rouge à l’instar d’un monsieur Loyal du rock et des ceintures skulls en veux-tu en voilà, sans oublier son make-up si reconnaissable, prouve que le gaillard n’a pas encore envie de s’enterrer avec des charentaises. Doté de son bâton il mène son groupe de main de maître et c’est qu’ainsi s’enchaîne House of Fire tiré de son album Trash. Et voilà c’est parti pour presque 2h de pure folie rock. Ce que l’on remarque c’est qu’Alice ne reste pas focalisé sur une seule et unique période de sa longue et riche carrière mais qu’il exploite la globalité de ses talents. En effet, les périodes Trash, Welcome to my Nightmare, The Eyes of Alice Cooper, Hey Stoopid, Billions Dollars Babies, Killer etc … passent à la moulinette ! Que dis-je à la guillotine. Eh oui, celle-ci fut aussi de la fête. C’est grâce à Calico Cooper (la propre fille de Vincent) qu’il fut exécuté et ce, sauvagement, avant de revenir sur un brancard. Faut vraiment spécifier que les concerts d’Alice Cooper sont des spectacles vivants. Il ne s’agit pas uniquement de musiciens qui viennent là, dégainent leur instruments et puis « ciao bye bye, see you later » ! Que nenni, là, on est dans le faste et l’envie de faire passer un bon moment à ses fans. On peut, à ce propos, énoncer la présence d’un guignol géant à l’effigie de Frankenstein sur le célèbre Feed my Frankenstein. Moment exquis où l’on se croit dans Wayne’s World. Il est où Garth ? De plus, la chaise électrique, la camisole de force sont des éléments intégrants au show ce qui donne une note voire des gammes complètement délirantes à son rock n roll. Il ne s’agit pas de l’unique corde (non pas pour se pendre) à son arc ! Vincent se rappelle d’où il vient et ne snobe en rien ses congénères. C’est ainsi qu’il fit un quart d’heure d’hommage aux Beatles avec Revolution, Jimi Hendrix et son Foxy Lady, aux Doors et Break on throught ainsi qu’aux Who et My Generation. On constate que ses partenaires de scène sont d’un professionnalisme à toute épreuve. La jeune Orianthi ne laisse pas indifférent tant par son jeu que par son physique. Cela dit on ne peut occulter ses compères Tommy Henriksen, Ryan Roxy, Jonathan Mover, Chuck Garric qui ne sont pas en reste. C’est au bout d’une heure et demie que ce joyeux petit monde se retire pour nous revenir pour un rappel détonant. Eh oui, notre ami Furnier a plus d’un tour dans son sac, la cloche retentit et c’est un mix de School’s Out et Another Brick in the Wall, qu’il nous délivre. C’est ainsi que s’achève cette grande messe à grands renforts de lâché de ballons, cotillons et feu d'artifice. Energie, envie, compétence rock, hémoglobine, théâtralité seraient les noms qui s’acoquineraient joyeusement à ce spectacle.
Alice Cooper appose sa signature
sanguinolente en résistant à la médiocrité. De plus, à plus de 60 piges qui
peut se targuer d’assurer un set de presque deux heures de hard rock pur et
dur. En bref des nightmares comme ceux-ci j’en veux toutes les nuits, Vincent,
tu reviens quand dans le coin ?
Lien photos: De Schluck de Heavymetal.lu ICI
I'm Eighteen, Live:
Alicia FIORUCCI
genial Alicia
RépondreSupprimer- Franky -
Comme toujours un article bien ficelé ! Emballé...c'est pesé ! Bravo Alicia §(*!*)§
RépondreSupprimerT'es toujours top my Young....!!!! Merci d'etre toi....
RépondreSupprimerYes très beaux commentaires, en bonus "I'm eighteen" Son un peu altéré le reste c'est super comme d'hab !!!!! quoi continues !
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