Chronique initialement parue dans le numéro 377 de Jukebox Magazine.
S’il
y a bien une personne à laquelle la devise : sexe, drogues,
alcool et rock’n’roll peut être attribuée, c’est bien au
charismatique Bon Scott. De son vrai nom Ronald Belford Scott, Bon
fut le chanteur du plus puissant groupe de hard rock de son époque
AC/DC. D’ailleurs, pour les puristes du combo australien et pour
beaucoup de fans, il est et restera le seul et unique détenteur du
micro, occultant totalement Brian Johnson qui prit la suite en 1980.
Bon a 6 ans lorsque sa famille d’origine écossaise s’installe en
Australie en 1952. C’est au pays des kangourous qu’il rencontre,
ceux qui allaient devenir ses compères de scène, la fratrie Young.
Avant de s’extérioriser vocalement, le gaillard est le chauffeur
du groupe. Cela dit, le chanteur du moment Dave Evans, est sur la
sellette et il est question de le remplacer. Bon est pressenti,
accepte et en 1974 troque le volant pour le pied de micro. De son
arrivée au sein d’AC/DC jusqu’à sa mort à l’âge de 33 ans,
une déferlante d’albums cultes a vu le jour de High Voltage à
Highway to Hell rien
n’est
à jeter. Que des tubes, des joyaux hard rock’n’roll
boogie blues graisseux à souhait dont seul
le groupe
a
le secret. Le livre de Jesse Fink The Last Highway, traduit
de l’anglais par François Tétreau, retrace la
vie du chanteur grâce à des
témoignages, des photos
et documents inédits exhumant quelques mystères qui planent au
dessus de sa disparition à
l’instar d’une enquête policière prodigieusement orchestrée.
Cette biographie est autant
captivante qu’audacieuse et s’avère indispensable pour tous les
aficionados
du groupe aux 200 millions de disques vendus.
L’écrivain et journaliste n’en est pas à son coup d’essai
avec AC/DC puisqu’il a déjà livré un
autre ouvrage sur les frangins Young intitulé
George, Malcolm & Angus Young : les frères qui
ont forgé AC/DC. Bon Scott
laisse incontestablement
une trace indélébile dans l’histoire du rock, c’est pourquoi
lui rendre hommage est amplement mérité. Alicia
FIORUCCI
Bel article je ne suis pas fan d acdc mais il fait dire qu' ils etaient très populaire et toujours d ailleurs .certains de eurs titres me son famillier quand j etait môme j ecoutait avec iron mais en et après le rock n roll et apparu a mes oreilles et depuis c'est une longue très longue histoire
RépondreSupprimerCool article !
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RépondreSupprimerSuperbe chronique, bravo !
RépondreSupprimerBelle chronique!
RépondreSupprimerAlicia.. Having read quite a few of your blogs / reports and i must say that each and every one is very professionally written. The book that you have featured here I must admit, I haven't read. However, after reading this with great interest it makes me want to go out and buy a copy. This was one very well constructed piece of work. well done! xxx
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